les films de fiction

En 1999, Le Bruit de la Nuit produisait le premier court métrage d‘Octavia de Larroche, puis co-produit les deux suivants en 2001 avec le G.R.E.C. et 2003 avec Les Films de la Belle de Mai.

Ces trois films ont été tourné en Super 16mm, gonflés en 35mm. Ils ont été sélectionnés dans divers festivals.

lum-aff
En 1999 : Lumières d’août – court métrage de fiction – réalisé par Octavia de Larroche, avec Manon Pechikoff, Caroline Michel et Eric Houzelot.

Deux jeunes filles vont sortir se baigner. Corps et décors apparaissent simultanément pour décrire une sensation, une chaleur particulière, celle de la Méditerranée.

Programmé par Cinémas du sud, Marseille en Courts n°1, juin 2000.
Sélectionné au 18ème Festival Tous Courts d’Aix-en-Provence 2000.
Présenté au 15ème Festival Travelling de Rennes 2004.

pastequeescalierscplanche
> pour voir des extraits de Lumières d’août : ici

onsaime-aff
en 2001 : Combien on s’aime – court métrage de fiction -en co-production avec le GREC – réalisé par Octavia de Larroche, avec Christophe Carpi et Fanny Avram.

Film déambulation porté par un couple et l’amour qu’ils se portent. C’est une représentation du sentiment amoureux, mais peut-on filmer un sentiment. Indicible et diffus, le temps du bonheur, le cinéma saurait-il l’arrêter pour l’éternité.

Présenté au 5ème Festival des Scénaristes à La Ciotat 2002.
Programmé par Cinémas du Sud, Marseille en Courts n°2, juin 2002.
Sélectionné au 20ème Festival Tous Courts d’Aix-en-Provence 2002, au 4ème Festival du Film Provençal de Rousset 2003, aux Rencontres Cinéma et Vidéo de Nice 2003.
Présenté au 15ème Festival Travelling de Rennes 2004.


> pour voir des extraits de Combien on s’aime : ici

quelamort-vhs
en 2003 : Que la mort nous sépare – court métrage de fiction – en co-production avec les Films de la Belle de Mai (aujourd’hui Labo D’Images) – réalisé par Octavia de Larroche, avec Clara de Larroche, Laetitia Macé et Francis Romanetti.

Une jeune femme est au square avec sa fille quand elle apprend la mort de son grand-père. C’est la mort, qui n’est pas montrée en elle-même, mais montrée en creux, par l’effet qu’elle a sur les vivants.

Présenté au 15ème Festival Travelling de Rennes 2004 ; à la Friche Belle de Mai, Marseille, avril 2004.
Sélectionné au Festival International d’Aubagne, octobre 2004 ; aux Rencontres Cinéma et Vidéo de Nice, octobre 2004, au 22ème Festival Tous Courts Aix-en-Provence 2004.
Programmé par le Réseau de Salles Arts et Essai de Cinémas du Sud, février – mars 2005.

MINOLTA DIGITAL CAMERAfrancisclara-laetitiaMINOLTA DIGITAL CAMERA
> pour voir des extraits de Que la mort nous sépare : ici